(français en bas de page)
Bist du in deiner Freizeit vor allem outdoor und somit automatisch umweltfreundlich?
Tja. Wenn es so einfach wäre...
Draussen sein.
Freizeit (fast) zu Hause.
Wenig Belastung für die Umwelt, ganz besonders wenn man den Hin-und Rückweg mit den öffentlichen Verkehrsmitteln und ohne Flug macht.
Alles perfekt?
Dachte ich. Stimmt nur teilweise, musste ich erfahren.
Der springende Punkt ist das Stichwort Mikroplastik.
Die meisten schmutzabweisenden oder wasserdichten bzw. warmen und trotzdem leichten Kleider werden aus technisch ausgeklügeltem Material gefertigt und bestehen aus Fasern, die chemisch mit Plastik verwandt sind.
Und: Werden solche Stoffe aus synthetischen Fasern (z.B. Lycra, Nylon, (Poly)acryl oder Polyester) in der Waschmaschine gewaschen, sind sie danach nicht nur sauber, sondern auch ein klitzeklein bisschen leichter: Bei jeder Wäsche werden winzige Partikel der Textilfasern gelöst - und landen schliesslich im Meer. Als Mikroplastik.
Denn: Kläranlagen können Mikroplastik nicht aus dem Wasser filtern.
Und so scheint es, dass in nicht allzu ferner Zukunft in den Ozeanen gewichtsmässig mehr Plastik als Fische schwimmt. Das finde ich recht schräg...
Das betrifft uns alle, denn dieses Plastik findet sich dann über einige Umwege in unserer Nahrung wieder.
Und das ist nicht gesund. Auch wenn die gesundheitlichen Folgen noch nicht absehbar sind, finde ich das beunruhigend. Winzig kleine Plastikteilchen werden durch unsere Körper gespült, lagern sich in unserem Gehirn ab, in unseren Organen, in der Plazenta von Schwangeren…
Also: was können wir tun?
Schon mal im täglichen Leben natürliche Fasern tragen. Ist sowieso angenehmer. Wenn man also nicht gerade am Skifahren, Bergsteigen, Wandern und draussen im Regen unterwegs ist, Kleider mit natürlichen Fasern bevorzugen.
Unterwäsche in Seide oder Wolle muss man übrigens viel weniger oft waschen, und dies ohne dass der kleinste unangenehme Geruch wahrzunehmen wäre.
Die klassischen und immer noch sehr zu empfehlenden natürlichen Materialien wie Baumwolle, Wolle, Leinen oder Seide werden heute von vielen anderen ergänzt, die ihren Ursprung nicht aus der Petrochemie haben.
Und eben, solange man keinen extremen Wetterbedingunge ausgesetzt ist, bzw. sehr s chweisstreibende Sportarten ausübt, ist das weiterhin das Beste!
Hier noch einige Tipps, um möglichst wenig Mikroplastik aus der Waschmaschine entstehen zu lassen:
alles aus Kunststoff weniger schleudern
keinen Weichspüler benutzen
Kunstfasern etwas kälter waschen (Polyester löst sich ab ca. 60° auf)
harte Textilien wie zum Beispiel Jeans, nicht zusammen mit Faserpelz waschen
Flecken einzeln auswaschen
lüften, was nicht schmutzig ist, sondern nur etwas riecht
Wir selbst haben in der Hand, was wir kaufen. Wer Polyester meidet, geht den saubersten Weg. Fair produzierte Kleidung mit nachhaltig angebauten Naturfasern ist natürlich ideal.
Übrigens:
Je nach Quelle der Statistik ist nicht immer dasselbe als Hauptquelle für Mikroplastik erwähnt. Für den schlimmsten ersten Platz buhlen (!) neben Kunststoffkleider ein paar andere, unter anderem Müllentsorgung, Autoreifen und Sportplätze bzw. Schuhsohlen.
Egal: Die Kleidung gehört zu den Faktoren, die Du am leichtesten durch bewussten Konsum selbst beeinflussen kannst.
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Tu pratiques surtout des activités en plein air pendant ton temps libre et es donc automatiquement respectueux de l'environnement ?
Eh bien... Si c'était aussi simple...
Être à l'extérieur.
Rester (presque) chez soi.
Faible impact sur l'environnement, surtout vu que tu utilises les transports publics... et pas d'avion.
Tout est parfait ?
C'est ce que je pensais. Ce n'est qu'en partie vrai, j'ai dû l'apprendre.
Le nœud du problème est le mot clé: microplastique.
La plupart des vêtements anti-salissures, imperméables ou chauds ET légers sont fabriqués dans des matériaux techniques sophistiqués et se composent de fibres chimiquement apparentées au plastique.
Et: si ces tissus en fibres synthétiques (par exemple Lycra, nylon, (poly)acryle ou polyester) sont lavés en machine, ils ne sont après non seulement propres, mais aussi un peu plus légers: à chaque lavage, de minuscules particules de fibres textiles sont dissoutes et finissent par se retrouver dans la mer. Sous forme de microplastiques.
Car: les stations d'épuration ne sont pas capables de filtrer les microplastiques.
Il semble donc que, dans un avenir pas si lointain, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans, en poids. Moi, je trouve ça assez bizarre...
Cela nous concerne tous, car ce plastique se retrouve ensuite, après quelques détours, dans notre alimentation.
Et ce n'est pas sain. Même si les conséquences sur la santé ne sont pas encore prévisibles, je trouve cela inquiétant. De minuscules particules de plastique sont évacuées par notre corps, se déposent dans notre cerveau, dans nos organes, dans le placenta des femmes enceintes.....
Alors : que pouvons-nous faire ?
Commence à porter des fibres naturelles dans ta vie quotidienne. C'est plus confortable de toute façon. Donc, si tu n’es pas en train de skier, de faire de la grimpe ou de la randonnée et que n’es pas sous la pluie, choisis les vêtements en fibres naturelles.
D'ailleurs, les sous-vêtements en soie ou en laine doivent être lavés beaucoup moins souvent, et ceci sans la moindre odeur désagréable.
Les matières naturelles classiques et toujours très recommandées telles que le coton, la laine, le lin ou la soie sont aujourd'hui complétées par de nombreuses autres, qui ne trouvent pas leur origine dans la pétrochimie.
Et tant que tu n'es pas exposé à des conditions climatiques extrêmes ou à des sports très éprouvants, c'est encore le meilleur !
Voici quelques conseils pour minimiser les microplastiques provenant de ta machine à laver :
moins essorer les fibres synthétiques
ne pas utiliser d'adoucissant
laver les fibres synthétiques un peu moins chaud (le polyester se dissout à partir d'environ 60°)
ne pas laver les textiles plutôt « durs » , tels que les jeans, avec le fleece par exemple
laver les taches individuellement
Aérer ce qui n'est pas vraiment sale, mais qui sent juste un peu mauvais
C'est nous-mêmes qui contrôlons ce que nous achetons. Éviter le synthétique est le moyen le plus simple de procéder. L'idéal, bien sûr, c'est de porter des vêtements produits de manière équitable avec des fibres naturelles cultivées de manière durable.
Au fait :
Selon les statistiques, la source principale des microplastiques varie. La première place (!) , est tenue parfois par les fibres synthétiques, d’autres fois par les déchets, les pneus de voiture, les terrains de sport ou encore par les semelles de chaussures…
Peu importe : l'habillement est l'un des facteurs que tu peux le plus facilement influencer par une consommation consciente.